Publié le 28/10/2025
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Dans l’univers trépidant des grandes gares françaises, tout se décide à la minute. L’affluence varie selon les vagues de départs, les voyageurs arbitrent entre un repas rapide et la vigilance sur les horaires, et la moindre incertitude peut perturber l’expérience. Dans ce contexte, l’affichage dynamique en gare prend une valeur concrète quand il délivre l’information voyageurs en temps réel là où elle compte. C’est précisément ce que permet le partenariat SSP France – INFOWAY : dans les espaces de restauration, des écrans horaires SNCF diffusent départs et arrivées en direct. Le résultat est simple à formuler et exigeant à exécuter : déjeuner sans perdre l’info de vue, rester serein sans multiplier les allers-retours vers le hall ou les consultations du téléphone, transformer l’attente en moment utile.
Les grandes gares structurent des flux denses et hétérogènes. Voyages d’affaires, liaisons quotidiennes, départs de fin de semaine, retours de vacances. À la pression du temps s’ajoutent l’orientation, la gestion des bagages, la recherche d’un siège, et souvent l’envie d’une pause. Les points de restauration jouent ici un rôle de respiration. Ils doivent cependant concilier qualité de service, fluidité et visibilité de l’information. Un client assis reste un passager en mouvement potentiel : il poursuit un objectif horaire. L’affichage dynamique vient alors stabiliser la décision. Affiché au bon endroit et au bon moment, l’horaire rassure, réduit l’hésitation, et clarifie l’arbitrage entre rester à table ou se diriger vers le quai.
SSP France opère des cafés, restaurants et corners gourmands dans les principales gares et aéroports. Son portefeuille réunit des enseignes connues et des concepts maison. L’ancrage est clair : être présent là où la mobilité croise la consommation. Ce positionnement fait des espaces SSP des lieux naturellement compatibles avec la diffusion d’information voyageurs. Un client qui s’installe pour un espresso, un déjeuner ou une pâtisserie reste en attente de signaux fiables. Proposer ces signaux directement à table ou au comptoir renforce la valeur d’usage de l’espace. L’acte de manger, de se reposer ou d’échanger n’est plus opposé à l’acte de s’informer. Les deux deviennent concomitants.
INFOWAY conçoit et déploie des solutions digital signage adaptées aux points de vente. L’objectif en gare est précis : afficher les horaires SNCF en temps réel dans un cadre visuel cohérent avec la charte du lieu, assurer la mise à jour centralisée et la fiabilité du dispositif, et garder une sobriété technique qui sert l’exploitation quotidienne. Au-delà de l’installation d’écrans, l’infogérance de contenus garantit la continuité : planification, publication, supervision, contrôle de cohérence. L’écran n’est pas un gadget décoratif. C’est un outil d’exploitation qui délivre un service clair : rassurer et informer sans distraire.
Les écrans horaires SNCF à table résolvent une tension simple. Le voyageur veut profiter d’une pause, mais craint de manquer un appel d’embarquement, un changement de quai ou un retard. L’affichage dynamique en gare supprime les micro-soucis récurrents : se lever, consulter le hall, revenir, revalider la commande. En rendant l’info visible dans l’aire de consommation, l’expérience devient prévisible. Le regard remonte périodiquement vers l’écran, la décision est informée, le temps est mieux réparti entre repas et préparation du départ. Cette clarté de l’instant est le cœur de la promesse.
Le parti pris visuel est minimaliste. Les écrans se concentrent sur l’essentiel : départs, arrivées, quais, éventuelles mentions de service. La hiérarchie visuelle guide l’œil : titres, tableaux, codes de lecture constants. La vitesse de rotation respecte le temps de lecture. Les contrastes privilégient la lisibilité. Le but n’est pas de reproduire le hall d’information, mais d’en offrir une copie utile, lisible, contextualisée à l’espace restauration. Autour de ce noyau, des messages de service sobres peuvent apparaître, à des moments définis et dans des zones d’écran secondaires, sans diluer la priorité de l’information voyageurs.
L’affichage dynamique devient un marqueur du parcours client. À l’entrée de l’espace, il rassure : on voit d’emblée que l’info est accessible. Au comptoir, il accompagne la prise de décision : le client sait s’il peut s’attarder ou s’il doit privilégier la vente à emporter. À table, il apaise l’attente : l’œil retrouve naturellement le tableau au moment opportun. La position des écrans respecte ces fonctions : orientation, décision, confirmation. Cette logique d’implantation évite de transformer l’écran en objet parasite. Il reste au service de l’usage, ni plus ni moins.
L’expérience se joue dans les détails. Une charte d’écran formalise la grille de composition, les styles typographiques, les tailles minimales, les espacements, et les règles d’accessibilité. Le tableau d’horaires privilégie une lecture horizontale propre et des alignements stables. Les pictogrammes ne sont utilisés que s’ils augmentent la clarté. Les transitions sont sobres et limitées. La vitesse d’animation n’excède pas ce qui permet une lecture complète d’un cycle. La gestion des priorités visuelles évite la « concurrence d’attention » entre horaires et informations secondaires. Cette économie de moyens fait gagner en efficacité.
Diffuser une information critique implique une discipline éditoriale. L’infogérance cadre les rôles : qui planifie, qui publie, qui supervise. Les templates réduisent la variabilité inutile, protègent la lisibilité et facilitent la mise à jour rapide. Les opérations de routine sont documentées pour réduire les temps d’intervention. Le contrôle de cohérence évite les divergences entre plusieurs écrans et maintient l’alignement avec la charte d’écran. Cette approche garantit que le client retrouve une même structure dans tous les espaces, sans surprise.
La gouvernance ne vise pas la sophistication, mais la stabilité. Un objectif par écran, une information principale par zone, un rythme de mise à jour défini. Les fenêtres de publication sont claires : plages dédiées aux horaires, plages pour de brefs rappels de service, plages éventuelles pour un message contextuel. L’éditorial n’entre jamais en concurrence avec l’information voyageurs. Cette gouvernance, formalisée, évite la tentation d’ajouter des éléments qui affaibliraient la lecture. Elle protège l’usage réel : informer d’abord, le reste ensuite.
L’impact de l’affichage dynamique en gare se mesure par des signaux qualitatifs faciles à capturer : baisse des allers-retours entre salle et hall, diminution des questions récurrentes au comptoir, meilleure prévisibilité des pics de départ, perception d’apaisement dans la zone d’attente. Ces indicateurs, suivis dans le temps, aident à ajuster la charte d’écran, les templates ou l’implantation. L’idée n’est pas de multiplier les chiffres, mais d’observer les effets d’usage pertinents pour l’équipe et pour les clients.
Les gares imposent des contraintes physiques et des points de vue variés. Le déploiement s’adapte à la lumière ambiante, aux angles de vision, aux circulations. Les écrans sont implantés pour éviter les reflets, maximiser la lisibilité et ne pas gêner le service. Les fixations tiennent compte de la maintenance. Le passage des câbles respecte les normes du site. La sobriété technique réduit les pannes et facilite la continuité. L’objectif opérationnel reste constant : un dispositif discret, fiable et exploitable au quotidien.
La priorité reste l’information voyageurs. Autour de ce noyau, quelques familles de contenus peuvent prendre place de façon encadrée :
La cohérence tient à la non-concurrence entre ces contenus et l’information voyageurs. Les templates et la charte d’écran garantissent cet équilibre.
Une gare rassemble des publics variés. L’accessibilité passe par des tailles de police suffisantes, des contrastes adaptés, l’absence de clignotements rapides, et des pictogrammes lisibles si leur usage est justifié. L’angle de vision doit couvrir des hauteurs et positions différentes : clients assis, personnes debout, personnes avec bagages. Les cycles d’animation respectent le temps de lecture de la ligne concernée. La simplicité n’est pas une concession graphique. C’est une condition d’inclusion.
L’affichage dynamique réduit les impressions et évite la dispersion d’informations contradictoires. En centralisant la mise à jour, il maintient une cohérence dans le temps. La durabilité ne se joue pas seulement sur le support, mais aussi sur l’effort humain : moins de réimpressions, moins de manipulations, moins d’affichages redondants. Cette logique favorise un environnement épuré, visuellement plus stable.
Informer en temps réel demande une vigilance sur la continuité. Le dispositif est administré, les rôles sont définis, les procédures de reprise sont connues. Les mises à jour suivent un workflow qui réduit les erreurs. Le but n’est pas de complexifier, mais de rendre fiable. En gare, la confiance se construit sur la prévisibilité. Un écran qui fonctionne, une information claire, un client qui lit et comprend.
La force d’un dispositif en réseau tient à sa reproductibilité. Les templates, la charte d’écran, la gouvernance et l’infogérance permettent d’étendre la solution à d’autres espaces sans dénaturer chaque site. On adapte l’implantation, on évite les effets de style, on priorise la lisibilité. Le voyageur retrouve la même logique dans différents espaces. Cette stabilité est un actif pour tous : clients, équipes, exploitation.
L’affichage dynamique en gare n’est pas un îlot. Il s’inscrit dans un écosystème qui comprend l’information voyageurs, la signalétique du site, les systèmes de caisse, et les éventuels outils internes de communication. La cohérence visuelle et sémantique protège l’expérience du client : jamais de contradiction, jamais de concurrence de messages. L’écran sert la décision locale, en harmonie avec l’architecture d’information globale.
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